Transport : moyen de rencontre [pv. Ally]

Tout était désormais près. J'était prête à quitter ce palace qui ne comptais plus à mes yeux. Je m'absanta quelques seconde pour aller quelques choses très importantes. Comme par exemple le livre que je lisais en ce moment. Il était composé de 5 tomes, je n'en avais qu'un seul. Et il était super ! Quand je revins dans ma chambre ma mère si trouvait. Ma bonne humeur qui s'était installé ce dissipa aussitôt que je la vis. Elle était droite tête haute et portais une longue robe noir qui scintillé. Comme si elle faisait le deuille de mon départ. Ce qui me mit encore plus encolère. Pourquoi est-elle obliger de joué le rôle de la mère aimante, alors que de toute façon, elle n'aime que elle. Elle est d'un égoïsme flagrante et mon père ne le voit même pas. Qu'est-ce qu'il peut être niais parfois ! Enfin bref, elle laissa coulait une larmes avant de faire un long discours. Beaucoup trop long à mon goût. Comme si que j'allais faire confiance à des inconnu. Comme si que je n'avais aucun sens d'orientation. Comme si que je n'allais pas poser des question pour savoir où aller. Mais pourquoi ai-je ses parents là ?! Après ce discours qui n'a servi à rien je referma mes bagage et sortit de la chambre. Non sans bousculer ma mère au passage. Elle ne dit rien.

Le chauffeur m'attendais devant cette grande demeure qui n'était plus la mienne. Je ne m'y sentais plus à l'aise depuis lontemps. Certains passant quand on dit "vie de chateau" pense la paix. Ils ont tout faux. La vie de château est dur, elle est impitoyable. Je monta dans la voiture. Mon père m'avais presque suplié que ce soit son chauffeur qui m'accompagne jusqu'à l'école, je suis resté de marbre et lui ai permis de me laisser conduire jusqu'au train. Donc le chauffeur me conduit au train. Cest ce que je crus. Jusqu'à ce que je voit un endroit où attendre les bus Londonniens. Je me sentis trahit et humilié. J'apellai mon père pour qu'il s'explique. Malheureusement sa ligne sonnait occupé. Je ne voulais pas appeller ma mère donc je sortis en claquant la portière. Et j'attendis que le bus arrive. En attendant je lisais mon livre. Il racontait l'histoire d'une jeune fille de 16 ans, qui, ayant vandalisé son lycée, et qui, a été, pour la énième fois, un prison, ses parents ont décidé de l'envoyer dans un lycée de snob. Je me sentai désormés un peu concerné, car j'allais dans un lycée de snob, là... Enfin bon, Ce n'est pas entièrement un lycée de snob il y a aussi la "classe moyenne". Cette dernière il faut s'en méfié quand même. Certains vont se forcer à vous aimer seulement parce que vous êtes riche. Je hais les personnes comme ça. Je déteste aussi les personnes qui se croit responsable de toujours tout. C'est dégoutant c'est personne comme ça...

Le bus arriva je montait dedans. Deuxième étages. Je collais mon nez aux carreaux et apprécia le paysage qui s'offrais devant mes yeux. Des rue avec des tas d'habitations moyennes, et des tas de gens. Il y en avait certains en costumes, d'autres avec des habits normaux. Ce mélange... C'était génials ! J'avais rarement vus les gens ce mélangeant ainsi. Chez moi, il y avait beaucoup de personnes en costumes qui m'entourais. Que ce soit garde-du-corps que personnes travaillants pour mon père. Trop de costumes tue le costume. Un jour j'avais tué un costume. Et j'en avais fait plusieurs petites robes. Mon père m'avais punis une semaine.

Je me lassa de ce paysage qui ce ressemblait et je me remit dans ma lecture. Je faisais de grand sourires dans les bon moment, et il y en avais ! Il y a Carter et Silvain, deux garçon qui sont amoureux d'Allie, la fille qui a du aller dans le lycée de snob. Et il y avait aussi sa meilleur amie Jo. Elle était vraiment gentille ! Le bus s'arrêta pour prendre d'autres passagers. Je n'y fis pas vraiment attentions. À côté de moi ce trouvé mon sac à trésors. Dedans j'y avais mis tout ce qui comptait plus que tout au monde. Ce que je ne supporterez jamais de perdre. Si il le faut je les garderez toujours sur moi. Mais il y en avais trop. Dommage.

Aujourd'hui, je portais une robe verte, ma préféré. J'accompagnais celle-ci avec un serre-tête sur lequelles ce trouvais de fausse fleurs et de petite chaussure type lolitas. Je me devais d'être plus ou moins présentable. Et je n'avais que sa dans ma garde robe. Parfois je me rêvé à portait un haut trop large pour moi accompagné d'un jean large. Et surtout de basket ! Sans objet coquette. Un sweet à capuche, un slim, des chaussure de ville,... Toute des chose que les gens normaux porte. Moi, je ne vais que dans des magasins de renoms. Ce que j'aimerais aller dans une petite boutique de rien du tout...

Le bus, lui, repartait...

Absorbé par ma lecture je ne puis voire de suite qu'une fille de mon age, à peu près attendait patiemment à ôté de mon siège. Qui, ce dernier, n'était point libre, pour cause, mon sac y avait pris place. À la place de me demander si elle pouvait s'assoir à côté de moi elle préféré faire le trajet debout. Qu'elle étrange créature. Je la dévisageais comme pour apercevoir qui elle était. C'était un bipède de la race dénommé humaine. Elle possédé de long cheveux brun si foncé que nous pourrions prendre pour noir. Après quelque minutes d'absence, je décida de retirer mon sac du siège pour la laissé s'assoir. J'en profita pour glisser mon livre à l'intérieur.

-Vous pouvez vous assoir.lui dis-je en désignant le siège à côté de moi.

Je l'avez vouvoyer ! Les habitude reste on dirait. J'avais passé ces dernières années à vouvoyer des tas de gens, riche, inconnue, profs, que... et ben. Vous comprenez ce que je veux dire. Je vouvoyer désormais. Pense bête : essayer d'arrêter de vouvoyer les personnage du même ages que moi, jusqu'à la fin du lycée. Quelle nulité ! Dire que je vouvoyais !

-Je m'appelle Luna Another. Ca signifie "un autre lune" en mélangeant l'espagnol et l'anglais. Je lui sourit poliment avant de continuer. Et vous comment vous appelez-vous ?

Je vouvoie, tu vouvois, il vouvoit, nous vouvoyons, vous vouvoyez, ils vouvoient... Je m'étais mis à vouvoyer et j'allais continuer jusqu'à ce qu'elle m'autorise à la tutoyer. Je commençais à me faire peur. Vraiment très peur ! Comment ce faisait-il que je vouvoyais autant ? Et pourquoi ? Je vis le visage de ma mère une fraction de seconde. Je fis abstraction de cette image le plus possible, mais me voilà qui serrais de plus en plus fort mon sac. Dedans il contenait, certes des chose précieuse pour moi. Mais il y avait surtout, un objet qui m'était plus précieux que ma propre vie. C'était grâce à lui que j'avais gardez la tête haute, et je ne voulais surtout pas le perdre. Ni même le montrer aux autres. J'en aurait trop honte. Alors je me contentais de le serrer à travers le sac. Ce petit trèsors. Ce grand secret. Cette gaminerie d'après ma mère. Cette chose inconnue à mo père. Cette petite chose dont la valeur sentimentale ne valait même pas tout l'or de la terre, ou même de l'univers. Encore plus grand que l'amour. Encore plus grand que n'être plus seul. Ce secret à brisé la solitude dans laquelle je m'était renfermé. Et personne ne doit savoir l'amour que je lui porte. Personne ne doit connaître ce terrible secret qui risque de couter mon honneur. Chose si... inutile, mais si dangereuse. Je risquerez de dire adieu à ce lycée et dire bonjour à la case départ. Malheureusement... Je me força à continuer à sourire.

Ce bus, peut-être irait-elle au même endroit que moi. Ce serait génial ! Personne ne connaîtrais mon passé, je ne serais pas jugé à tort ! Et 'aurais déjà une amie. Oui, mais... Je ne sais pas si je peux lui faire cnfiance. Certes elle avait une aura qui nous inspiré la confiance. Mais, tellement de gens se serve de ça pour trompé les autres. Pour les manipuler. Alors... Peut-être... oUi je sais. Ce sera bon comme ça. Elle ne s'en apercevra même pas. Elle aura même pas le temps de dire ouf, que le méchant loup l'avalera tout cru. Si je ne puis avoir confiance en quelqu'un alors essayons d'attiser la confiance des atres. Les manipuler à notre guise pour connaître tout. Tout de tout le monde. Les avoir à ma bottes. Je vais commençais par le petit bétail. Un petit troupeau, de plus en plus grand.

Parfois mes pensée me font peur, comme si, j'agissais comme ça pour me protéger. J'y ai loguement réfléchis. ET souvent et je suis venue à cette conclusion. J'ai peur des autres, alors je les fait souffrir pour que ce soit eux qui ont peur de moi. Mais, jamais, au grand jamais, cette peur ne s'évincera car elle c'est attachais à moi. Et ne veut certainement pas, partir au loin dans mes souvenir enfouie.

- Oui, en effet, je me rends de ce pas à Euston ! Nous allons être camarade je pense ! Du moins, je l'espère !

Youpi ! Je ne me suis pas trompé pour avoir autant insisté.

Oh, oui ! On pourra ce voir souvent alors !

Elle me sourit, elle aussi. Et je lui souriait. Je l'aimais déjà bien. Elle était vraiment très, très, très sympatique. Elle ajouta :

- J'avoue stresser un peu, j'arrive après tout bien à l'avance, j'ai bien trop peur de me retrouver seule là-bas ! Mais si vous y allez, ça risque d'être plus amusant que je ne le pensais, cette rentrée précoce !

Amusant. L'un des mots qui n'avait jamais eu de sens pour moi. Et qui risquait d'en avoir désormais un. Une idée me travera l'esprit. Si on arrêtait de se vouvoyer. Et si on s'entendait bien. Et si, elle est de classe moyenne et moi de la classe des privilégiée. Et si on faisait abstraction de tout ? Tout. Tout, me fait penser au néant. Un néant sale, malentretenue. Ce néant, ce tout, pourrait-il apprendre à acceuillir d'autre personne ?

-Quant à moi, j'était plus entousiste de venir ici,... Brève hésitation avant de recomencer d'une voie un peu moins sûr, que de rester chez moi...

Croisons les doigt pour ne pas qu'elle me pose des question sur mes parents. Je crois pas que ce serait la meilleur chose à faire... Je continué à sourire, de toute façon, pourquoi bouder ? La seule chose qui pourrait me tromper c'est une fois de plus, que je serrais de plus en plus fort contre moi. Je l'aimais bien ce sac. C'est ce qu'on pourrais croire en tout cas.

- Je comprends, ce qui est bien dans les écoles, c'est qu'on peut se faire des tas d'amis alors que chez soi, y a pas ce genre de petits gens !

De petits gens ? Ah ! elle voulait dire que dans une famille il n'y avait pas d'ami et tout ce qu'il y a avec. C'est à dire ceuxqui aime embêter les autrs, les persécuté, les intello trop intelligent pour deigner nous regarde avec un regard d'égal à égal, les tabasseur, ceux-ci qui se croit comme les intello supérieur. Enfin, je préféra ne rien répondre. Si quand elle dit le mots ami, elle pense, personne ne s'engeule, tout va bien, aucune trahison. En bref l'amitié parfaite. Et quand elle parle de la personne ami, voulait-elle dire, la personne qui vous soutiens toujours, qui n'a jamais rien fait contre vous, qui est si... loyal envers vous, qui, qui est parfaite en somme. Si c'est cela, alors je ne comprend pas. Alors vraiment pas. Je ne l'ai vécu que en travers de livres.
Je préféra ne pas répondre.

- Au fait, vous allez dans quelle partie de Euston ? Privilégié ou Moyenne classe ?

LA question. C'était LA question qu'il ne fallait pas poser. Je sais très bien que elle et moi, nous savons que nous étions pas de la même classe sociale. Pour lui prouver cela, je la détailla ça robe blanche accompagné d'une veste bleu et de balerine de la même couleur d'un oeil critique. Certes l'ensemble était des plus beau. Bon, il y avait du gout là dessous. Le problème, c'est qu'on voyait pertinament que ces habit, n'était pas de premier choix. Ils n'était même pas sortit dans un des grands magasin de mode. Alors, de la à qu'ils soit de grande marque, c'était impossible.

-Je suis de la classe des privilégiais. avais-je ajouté en me retenant de lui dire que elle c'était sûr qu'elle n'y était pas...

Après cela je me retourna vers la rue. Ou vers les carreau. Le paysage avais quelque peu changer, sur quelque pauvre point. C'est nul. Je souffla. C'est mal élevé de souffler me dit une voix à l'intérieur de moi. Celle-la même qui m'avait élevé si bien, tellement bien que j'étais apte à aller dans n'importe qu'elle lieu. Dans la rue je repéra une fille et un garçon discuter ensemble. Un ac de sport dans leurs mains. ON était en vacance, ils devaient faire cela en plus de l'école. Un peu plus un couple bien habillé passèrent à côté d'unes famille SDF réclamant de l'argent. Et il y eu aussi cette jeune fille plutôt envelopé. Londre, était ce qu'on pouvait dire une capital contenant tant de personne diférante. Allant du bien blanc au noir néant. Du blond au brun ténèbre. Du trop maigre au trop gros. De l'asiatique à l'américains. Tant de personne si différente habitant dans la même grandes ville. Tant de chose que l'on pourrait lui envié. Malheureusement il y existait aussi beaucoup de phobie. L'un ne va pas sans l'autre. La paix dans le monde, comme le dit les miss je sais pas trop quoi, ne pourras jamais exister si les phobi éxiste encore. C'est bête, mais c'est vrai.

Collé à la vitre, je vis à peine Ally faire un geste pour appuyé sur un bouton. Ce bouton servait à dire au chauffeur que nous descendions à cette arrêt. Un arrêt superbe. Un arrêt qui allait marquer une toute nouvelle page de ma vie. Et ce portail, j'allait le franchir avec cette Ally. Une fille comme tant d'autre dans le monde. Mais, une fille dont le coeur ressemblait à un cocon de bonté. Oui elle était vraiment très gentille. Une future employé d'une grande société. Sûrement. Elle se leva, et me dit qu'il fallait descendre ici. Elle me fit redescendre sur Terre. J'était partis vers la Lune. Je crois. Je me leva du siège. Regardant fixement le point de lumière. Les escaliers. Je les descendis...

Un immense portail s'afforait à nous. A nous deux. Ce magnifique portail, qui allait faire démarré un renouveau. Une toute nouvelle histoire. Et cette histoire, j'en aurais le contrôle. Ce sera moi, et moi seule qui pourra enfin contrôler tous ce qui me touche. Un renouveau. Un nouveau chapitre. Un deuxième chapitre qui allait mettre en scène toute mes aventures. Toutes mes rencontres. Enfin ! Enfin un commencement dont je veux.
Et puis, elle me prit la main. Les muscles tendut à l'extrémité, elle avança d'un pas. Moi luttant contre l'envie de l'enlever brutalement et lui criant dessus. Elle dit quelque chose dont je n'y fit pas gaffe. Et puis apprès qu'on eu enfin passé le portail. Le coeur en train de serrer la poitrine, j'enleva le plus doucement ma main. C'est à dire très rapidement. Mais pas brutalement. Je déteste qu'on vienne me prendre la main, ou qu'on me frôle. Ce n'est pas une question de transmission de microbe. Non, ce n'est pas ça. C'est seulement que j'ai horreur qu'on vienne me toucher, même si c'est pas fait exprès. Et même froler.

-Tu veux qu'on traîne un peu avant de rejoindre nos dortoirs respectifs ?

Je réfléchis une bref fraction avant de lui répondre

-Pourquoi pas. Où est-ce qu'on pourrait aller, une idée ?

J'était encore un peu tendus à cause de ce qui venait de ce passer, mais bon. Ca appartient déjà au passé. N'est-ce pas ?