Un prof percuté -AÏ- [Clive]

Ce matin là, je m'étais réveillé trés tôt. J'avais mal par tout ! Ce n'était pas ma première nuit ici et je ne m'étais pas habituée à ce lit, qui était beaucoup, beaucoup, beaucoup trop incomfortable. Je ne l'aimais pas. Il ne devait être que 5h30 tout au plus. Je partis donc prendre ma douche. Je m'habllia de suite après. Une robe bleu à manche "courte". En-dessous un faux chemisier relié à la
robe avec des manche plus longue. Elle me donnait un air studieux. Je l'avais tout de même recherché. Cette air studieux je veux dire. Une fois paré je partis faire, pour la énième fois, le tour du bâtiment. Dit-on pas que le monde appartient à ceux qui se lève tôt ? Les couloir large peu à peu ce rétréssirent. Je m'étais aventuré dans la partie des "nul". Des moins riches. Bah, j'allais pas mourir. J'y fit le tour avant de repartire. Il n'y avait ppersonne de réveillé. En revenant dans mon dortoir je croisais trois groupes d'élève papotant. Ils me regardaient bizarrement. Et chuchotait. J'arrivais facilement à déchifrer ce qu'il disait. Il parlait tous de la rentrée, des cours qu'ils auront... Et certains chuchoté, "ouha ! quelle est belle !" Il était encore très tôt. Les cours commencé ver 8h si ce n'est plus. Quelque chose du genre. Il était sept heure moins le quart, donc j'avais encore le temps. Je partis alors faire le tour dehors. Mais avant un petit saut dans ma chambre. J'enfila un jogging et un t-shirt à manche courte et une vest de survétement. Et hop je partis dehors. Le vent du matin soulevent mes cheveux. Je les attacha avec une élastique si petite qu'on ne pouvait pas la remarquait. Mais long cheveux attaché tandis que ceux en carré resté libre. J'avais pris l'habitude de faire comme ça. Aucune imperfection. Je me mis à courir. Courir vers ce que je n'aurais jamais. La liberté. Courir vers cette irréelle, qui, seul dans l'imagination peut-être réelle. Courir à tout jamais sans m'arrêté. Courrir vers les réponse. Courir vers les secret enfermé. Courir dans la direction que le vent souffle, pour se retrournner et courir contre son destin. Être libre de choisir ou on veut aller, être libre de connaître les réponse qui entache ma vie, être tout simplement moi. Pas cette façade irréprochable. Je riais. Je riais. Pourquoi je riais ? Je ne le sais pas. J'aimais courir. Il n'y a que maintenant que j'aimais courir. Courir délivré de toute question ingrate qui entache la vu. J'avais arrêté de rire et regardait autour de moi. Où est-ce que j'étais ? Je n'avais pas encore exploré cette partit de la cours. Je voyais le bâtiment au loin, je m'y précipita. Combien de temps j'avais courus ? Aucune idée. Enfin arrivé je courus dans les escalier ers ma chambre.

-Arrivais ! J'y suis arrivé... m'écriais-je en rentrant dans la pièce.

Salle de bain : okay
Débarbouillage : okay
habit : okay
chaussur : okay
heure : pas okay
sac : okay...
Heure pas okay ?! Et mince ! Je partis en courant oubliant mon sac sur place. J'étais à peine sortis de ma chambre que j'y retourné dedans. Après un bref regard à mon objet fétiche je repartis en claquant la porte. Pour aller en cours je devais traverser. Je fonçais tête baissait -ce qui étais très rare chez moi- et... BAM !!! J'étais tombé sur le cul. Ne rigolez pas ça fait mal ! Je n'étais pas assez sonné pour ne pas savoir reffouler les larmes qui remonté face à la fulgurante douleur. Levais mes yeux vers celui que j'avais percuté. C'était un adulte. Et merdeuh !