la musique cachée (pv Luna)

Bon il me fallait un endroit où personne ne pourrait m'entendre mais ou je serai quand même dans l'enceinte de l'établissent. La nuit cela n'était pas super de s'en aller de l'école sans rien dire. J'avais bien vu une grande tour mais je ne voyais pas trop comment y accéder. Bof, je verrais bien en cherchant un peu. Je prenais dans ma valise, pas encore tout à fait bien déballée, un petit étui à violon que je plaçais sur mon dos. Je me mettais à courir partout dans les couloirs en essayant de faire le moins de bruit possible. Je courais vraiment dans tous les couloirs et le boucan de mes pas se faisait quand même un put entendre, je restais sur mes gardes pour éviter de me faire surprendre par un prof ou un autre élève. Cela me rappelait la fois où je m'étais enfoui de chez moi : ma mère avait paniqué, appeler la police, et criée au kidnappeur. Tout ça après s'être maquillé et bien habillé bien sûr. Mais nous n'en somme plus là. Le présent est le présent et le passé j'ai lu à y penser. Je courais pendant une bonne demi-heure comme avant de trouver le moyen de rejoindre le haut de la tour. Une fois en haut je posais mon étui par terre en 'ouvrant pour en sortir un beau violon en bois. Je murmurais quelque chose d'inaudible avant de placer mon violon sous mon menon et de commencer à jouer un air de ma composition.

Que j'aimais cet air. Si triste et pourtant si beau. Pourquoi est-ce que tous les sons de la vie ne pouvaient être comme ça? À la place on entend des voix criardes et trop aiguës. Le vent me caressait mon visage comme pour emporter loin d'ici tous mes tourments. Quand soudain je sentis comme des yeux sur moi. J'arrêtais de jouer et je me retournais.

-Qui est-tu?!

Je parlais d'un ton froid et colérique. Je détestais qu'on m'écoute jouer du violon. Après on allait me prendre pour une chochotte ou un autre truc du genre.

Violoniste, métier d'artiste...

Travaille et bruit n'ont jamais étaient ensembles.

Ce soir là, j'étais dans mon lit, la journée avait été fatiguante. Je lisais les dossier des élèves pour apprendre tout sur eux. Oui, je devait les connaître à fond. Luna le jour j'étais, Sherlock Holmes je devenais la nuit venue. J'étais tombé sur le dossier d'un garçon que j'allais bientôt rencontrer.

Malhereusement, je n'arrivais pas à me concentrer dans cette chambre emplit de livres entassé dans tout les coins. Cette chambre avec des cloison pas assez épaisse pour ne pas entendre le rire d'idiot. Je ressemblais mes dossier, les mit dans un sac et partit. Partit trouver un endroit confortable ou je pourrais lire mes documents tranquillement. Bon ce n'était que des choses que j'avais trouvé en naviguant, mais c'est déjà ça.

Je ne sû que après pourquoi j'était arrivé là. Et comment...

Marchant dans les couloirs vides de l'établissement, je lisais le dossier de ce garçon. Il s'appelle Akifusa Srebro, un garçon de 17 ans. J'ai fait quelque recherches sur ce garçon. C'est parents sont riches, et que il sont un peu trop protecteur. Avec autant de recherche possibles, j'ai trouvé qu'il fouter un peu la merde. Enfin bref. Je refermais le dossier. Il n'était pas bien épais, mais j'aurais tout mon temps pour l'épaissir. Je relevais la tête. Mes sens se reconectèent avec la vrai vie. Je me trouvais devant une porte fondus dan le mur. Je ne l'avais jamais vu, c'est pour ça, que je la poussa et rentra.

Un long périples attend ceux qui trouverons cette porte et céderons à la curiosité.

Les marches. Beaucoup trop de marches. Pourquoi autant de marches ? De plus il y avait cette obscurité pesante. "La curiosité est un vilain défaut pour une demoiselle, n'y céde jamais." Pourquoi sa voix me revenait à l'esprit ? Je ne le sais pas. Je ne veux pas le savoir. Qu'elle soit rayé de ma mémoire à jamais. Parfois, je me demande comment ça aurait été, si elle serait partit à ma naissance. J'aurais préféré cela. Mais, je n'ai pas vécu pour me lamenter sur le passé. Avançons, continuons à avancer. Ne jamais perdre le fil.

Je t'ai trouvé... Mais pourquoi suis-je bouleversé ?

J'avais terminé de monter en haut des escalier. Un garçon, se tenait là, près de moi. Il me tourné le dos. On pouvait deviné qu'il était assez beau. Il tenait dans sa main un violon. Le violon était beau, il devait être utilisé souvent. Je ne voyait alors qu'une mince partit de son visage, mais, cette douceur dans son geste, cette mélodie... Oui, elle était pas l'une des meilleurs joué, mais... C'est quoi ça ? Pourquoi est-ce que j'ai mal aux yeux. Il me picote. Une envie de pleurer ? Non, je ne pleurerais pas. Ca ne sert à rien de pleurer. Et pourquoi d'ailleurs.

Le garçons se retourna...

Mais... Je te connais !

J'avais déjà vu ce visage. Ou ? Ou est-ce que je l'avais vu ? Les couloirs ? Non... Alors Ou ? Le dossier ! Il ne doit pas le voir.
Je posais ma main sur mon sac quand il me parla avec une sorte de méchansté... Non, plutôt de foideur mélangé à de l'irritation. C'est mots contrasté énormément à ce que j'avais pût voir juste avant.

-Qui es-tu ?

Je ne vis même pas l'utilité de bafouillé de surprise. De toute façon, qu'est-ce qui peux me surprendre ? Rien. Plus rien à présent.

-Luna Another... Puis-je te retourner la question ? A moins que messire ne veulent décliner son nom...

Oui il m'arrive d'être arrogante quand une personne me parle mal alors qu'un ne se connais même pas. Mais bon, la froideur et le méchansté gratuite je connais. Donc ça va...

Qui es-tu ? Qui es-tu vraiment Akifuse ?

[HRP : je ne pourrais malheureusement pas te répondre avant la semaine prochaine.]

-Luna Another... Puis-je te retourner la question ? A moins que messire ne veulent décliner son nom...

Ha, on le prend comme ça m'a petite? Ce n'est pas une bonne idée d'être arrogant avec Akifusa Srebro. Tu sera surement pas mon amie toi.

-Moi c'est Akifusa. Maintenant tu te barres et tu évites de dire aux autres que je vais jouer du violon en cachette la nuit. Ok?! Comme ça tout ira bien et jte chercherait pas des noises.

Je vais en profiter pour faire un petit test. Je prenais mon violon et jouais une note ressemblant au timbre de voix de la jeune fille. Je faisais une grimace de dégout en entendent la note.

-C'est bien ce que je pensais; les voix des filles sont très moches au violon.

J'essayais une note ressemblant à mon timbre de voix cette fois-ci.

-Les garçons aussi d'ailleurs.

Je m'en tiendrais aux notes normales. Essayer de reproduire la voix humaine dans une mélodie de violon serait une grave erreur. Je rangeais mon violon dans mon étui totalement dégouté de n'avoir pas pu prolonger ce moment de bonheur. Dès que quelqu'un me regardait j'avais l'impression d'étouffer. Comme-ci il allait me faire une critique désagréable ou me lancer une injure sur ma musique à n'importe quel moment. Je pointais la sortie du doigt.

-La sortie c'est par là! Sort la première, moi je reste ici.

Je me rendis tout d'un coup compte que les vêtements que j'avais emporté étaient un peu froid pour cet endroit en auteur, surtout la nuit, j'éternuais deux fois de suite. Brr... comment ça ce fais que je m'étais pas rendu compte qu'il faisait froid plus tôt? Surement par ce que j'étais absorbé dans la mélodie de mon violon. Je sortais un mouchoir en papier de ma poche pour e moucher légèrement bruyamment. Enfin je m'allongeais sur le dos en regardant les étoiles. Comme les mauvaises manies ont la vie dur je commençai presque inconsciemment à me morde la main. Moi étui avec mon violon était bien rangé à côté de moi. La soirée pourrait se finir pas si mal que ça si la gamine ne me parlait plus. Être seul le soir c'est vraiment reposant. Avant je passais des nuits entières parfois sur le toit de la maison de mes parents. Le matin on me retrouvait toujours avec un gros rhume. Je coutais cher en mouchoir moi.

Je déteste les gens de son genre. Tout d'abord, comment il m'aborde n'est pas du tout convenable, il ne se présente même pas en premier et il ose encore me menacer. Certes je n'aime que très peu de gens, mais là franchement, lui il dépaçait les bord ! Il me tapait sur les nerfs. Certes je ne m'étais pas présenté convenablement, mais, comment il m'avais parler la première foi, je ne me devais de réagir. Et s'il a quelque chose à me dire, qu'il me le dit. Et il continuait à être méprisable. Il me donne des ordres. Il doit savoir que personne n'a le droit de me donner des ordres. Non personnes. Je n'eut pas le temps de lui dire ces quatres vérité, qu'il fit une horrible notes aigüe, qui s'en suivit d'une remarque et d'une note grave tout aussi horrible et d'une autre remarque. Enfin, chose qui n'avait rien à voir avec moi. Jusqu'à ce qu'il se montre encore une fois désagréable.

-La sortie c'est par là! Sort la première, moi je reste ici.

Donc, voilà ce qui se passa à l'intérieur de moi. Etonnement, reprise en main, colère, reprise en main, et pour finir désintérêt totale pour le reste de ce qui va s'ensuivre. Sauf que voilà, moi je suis plutôt du genre fière, donc je ne put m'empêché de répliqué avant d'enfoncer des écouteurs dans mes oreilles.

-Malheureusement, j'ai du travaille à faire ici, donc excuse moi si je préfère "squater" la tour. Sur ce...

J'allumais mon MP3, que, je tiens à préciser, que c'est moi qui est choisis et achetais toute seule. La musique presque à fond, je ne pourrais qu'entendre un bref chuchotis de ce qui me dirait. Je sortis son dossier et fit un bilan sur son caractères et ce que j'ai pu découvrir sur lui. J'hésitais à lui poser des question sur ces parents. Je décidais que non. Je préférais sortir mon ordi' et continuer à faire quelque recherche sur lui. Je ne pouvais que découvrir la surface de la vie de ces parents, de ses grand-paretns et de la sienne. Il ne me sufisait plus qu'à découvrir qui il était vraiment sous ces air de rebelle. Et pour cela je me devais de le connaître plus. Beaucoup plus.

-Pourquoi es-tu ici ? Tes parents pouvaient te payer meilleur lycée.

Je le regardait pas dans les yeux. Non, je regardais plutôt sa bouche. Je regardais ces lèvres bougeais. La musique qui entré direct dans mes oreille ne me déangeait pas la moindre du monde. C'était même plutôt pratique. Je pouvais faire semblant de rien entendre. C'était hilarant de voir leur bouche s'agrandir lorsqu'il commence à parler plus fort. Bref, tout ça pour dire que je regardais sa bouche, et que je sais lire sur les lèvres. Et que c'est super !

-Malheureusement, j'ai du travaille à faire ici, donc excuse moi si je préfère "squater" la tour. Sur ce...

Elle mis ses écouteurs dans ses oreilles, elle commença à regarder une fiche sur je ne sais qui ou quoi et enfin elle alluma un petit ordinateur. Je ne savais pas que le son était à fond dans ses écouteurs. Je me demandais bien ce qu'elle pouvait écouter comme musique, pas du rap j'espère.

-Pourquoi es-tu ici ? Tes parents pouvaient te payer meilleur lycée.

Déjà avant que je lui réponde faudrait déjà qu'elle enlève les écouteurs de ses oreilles. Ça me stress. Je m'avançais vers elle puis je lui enlevais un écouteur.

-Le minimum quand on parle à quelqu'un c'est au moins d'enlever ses écouteurs. Je sais pas pourquoi suis ici moi, demande à mes parents. En tout ça moi j'aime bien rester ici parce que je vois plus mes parents.

Je lançais quelques regards à mon violon pour voir si tout allait bien. Le laisser derrière moi stressait encore plus que les écouteurs de Luna mais je n'allais pas retourner le chercher sinon ça aurait fait nul alors que j'étais en train de parler à quelqu'un. En plus j'avais son écouteur dans la main alors j'allais pas le faire tomber juste pour reprendre mon violon. Je me demandais quand même ce qu'il y avait sur ses fiches. Mais! Elle faisait des recherches sur moi! C'est quoi ce délire.

Alors que j'avais baissé un bref temps mes yeux pour regarder l'écran de mon ordinateur et marqué ces quelques mots "Monsieur Srebro riche" et cliquer sur rechercher. Je tombais direct sur des miliers de résultats. J'alla directement sur mon site de personne importante, ce qui ignifie facebook sur une page, et sur l'autre un site comme tant d'autres. Un site contenant de informations sur la famille Srebro.

Je lève la tête et pouf ! Akifusa Srebro se trouvait devant moi et me prit mon écouteur. Il avait laissé son violon dérrière lui. Et il osa me faire la morale sur la sociablité d'écouter les gens quand on leurs parle.

-Le minimum quand on parle à quelqu'un c'est au moins d'enlever ses écouteurs. Je sais pas pourquoi suis ici moi, demande à mes parents. En tout ça moi j'aime bien rester ici parce que je vois plus mes parents.

Ca dernière phrase. Une phrase que je comprenais plus que bien. Une véritée qui est plutôt triste. Une véritée qui est aussi joyeuse. Mais les état d'âme non uère d'importance en ce bas monde. Je le regarda avec un air de mépris.

-Mister Srebro, comme je ne peux vous comprendre, je vous pose cette question facile à répondre : pourquoi n'aimé vous pas vos parents ? Oh, et je tiens à vous signalé que je puis lire sur les lèvres, donc que je ne suis pas obligé d'écouter votre voix affreuse.

Et puis je vis son visage se transformer alors que son regard se posé sur son dossier. Je le referma tout de suite en lui souriant d'une manière si... méprisante. Sont dossier. Ca allait bien me faire rire ce qu'il aurait à dire sur ce qu'il venait de voir. Pendant ce temps car j'avais une oreille de libre je lisais les informations qui se trouvais sur la pages. Toujours la surface. Encore et toujours. Il faudra l'interroger en direct. J'ai commencé à mal me comporter, donc je vais continuer. Il finira par me lâcher quelques info' sous le coup de la colère. J'en suis certaine !

-Mister Srebro, comme je ne peux vous comprendre, je vous pose cette question facile à répondre : pourquoi n'aimé vous pas vos parents ? Oh, et je tiens à vous signalé que je puis lire sur les lèvres, donc que je ne suis pas obligé d'écouter votre voix affreuse.

Ma voix affreuse? Non mais pour qui elle se prenais la petite princesse? En plus elle me posais des questions, comme ça, alors que je la connaissait même pas. Si elle crois que je vais lui répondre elle peut toujours courir. Je me contentais de l'ignorer et de lui remettre ses écouteurs dans les oreilles.

-Pas tes oignons. Je me retournais. Pffff.. pour qui elle se prend elle?

Je n'aime pas trop les personnes qui se mêlent de tout sans y être invités. Je ferais mieux de regarder en l'air au lieu de voir sa vilaine face. On allait pas être amis tout les deux, ça c'était sur et certain. Je rejoignais mon violon dans son étui et le mettait sur mon dos. J'aurais bien aimer prendre mon violon et le balancer sur la tête de cette fille haïssable, mais mon violon n'en serait pas ressortit indemne. Je me retournais de nouveaux vers la jeune fille.

-Tu connaitrais pas un endroit ou je pourrais être tranquille pour jouer?

De toute façon je pouvais surement courir pour qu'elle m'indique un endroit. Au pire elle me répondra "d'accord mais répond à ma question avant". Je le vois venir gros comme une maison.

Je baissais discrètement le son de mes écouteurs pour mieux entendre ce qu'il avait à me dire. Sa réponse m'intéressé, et quand quelque chose m'intéresse j'ouvre grands mes oreilles et écoutes.

-Pas tes oignons. Pffff.. pour qui elle se prend elle?

D'un, j'étais deçus qu'il ne me réponde pas, alors que c'était la moindre des choses que de répondre, de deux, j'avais entendus ce qu'il venait de dire. Et il se croit drôle. Qu'est-ce que les personne du monde peuvent être autant... Comment dire... Idiot, serait le meilleur mots pour les décrires. Il rangea son violon, et j'apercevais comme qui dirait, une aura de colère, ou quelque chose comme ça. Quelque chose de pas amical en tout cas. Et ces choses là, je les connait ! Bon, en tout cas, il ne m'aimais pas, je ne le connaissais pas, donc je ne sais pas si je devrais l'apprécier ou pas. Donc, c'est comme il veut. S'il ne veut pas m'aimer, qu'il ne m'aime pas. Je n'ai aucune envie d'une personne qui fait tout pour être mon ami juste pour la gloire. C'est personnes me dégoute au plus au point. J'ai même parfois envie de vomir en les voyant. Bref, qu'est-ce que ça à voir avec mon histoire ? Rien, vous êtes d'accord avec moi ? Bien sûr, et puis si non, on s'en fout de vôtre avis. Voilà.

Il c'est retourné vers moi pour me poser une question.

-Tu connaitrais pas un endroit ou je pourrais être tranquille pour jouer?

Je ne sais pas pourquoi, mais l'envie de le faire tourner en bourrique, de le rembarrer me tentait vraiment. Il me saoulait à agir comme ça.

-J'ai entendus tout ce que tu as dis, et... Par ailleurs, ici est un endroit tranquille, personne ne parle et tout est silencieux. D'autres part, pourrais-tu trouver une autres excuse que "pas tes oignons". Ca ne me parait pas une excuse tangible...

Et oui, juste pour l'embêter je fais attention à la tournure de mes phrases, du vocabulaire utiliser et bien sûr de ce que je disais. J'aime cracher mon venin, aux personnes qui me parle mal. Ou, qui ne m'aime pas et me le font bien montrer. Je sais je ne suis pas logique comme fille. Bah, j'ai été élevé comme ça, j'ai grandis comme ça, j'ai étais entouré avec c'est gens la, donc excusez moi, si je suis moi aussi devens comme ça. Et après on se demande pourquoi j'agis comme ça. Bande d'ignard ! Sachez que je ne me plains pas. Et que je me plaindrais jamais, devant qui que ce soit.

-J'ai entendus tout ce que tu as dis, et... Par ailleurs, ici est un endroit tranquille, personne ne parle et tout est silencieux. D'autres part, pourrais-tu trouver une autres excuse que "pas tes oignons". Ca ne me parait pas une excuse tangible...

-Si je n'ai pas envie de t'en parler, c'est que je n'ai pas envie de t'en parler, c'est tout. C'est une meilleure excuse ça? Et si tu veux savoir pour moi un coin tranquille c'est un coin où personne n'est et ou une fillette ne viendra pas me poser des questions. Alors, tu connais?

Il n'y a que moi qui est le droit d'entendre jouer de se violon, ce n'est as pour le plaisir des oreilles des autres j'en joue. Déjà que cette petite princesse m'est écouter pendant quelques instant m'écœurais alors en plus si près je devais répondre assommante. Je déteste m'expliquer trop longuement sur une chose, et puis je sais que si jamais je lui répond chaque réponse en engendrera une autre. J'en ai vraiment marre des interrogatoires, que se soit à la police ou ici.
Je regardais fixement madame princesse, elle avais les cheveux rose donc elle se les était surement teinter comme moi, ses yeux marron exprimais la gaité et de la tristesse mêler a la colère du moment, son visage et son corps me faisaient un peu penser à une poupée de porcelaine tellement tout les trait était fins, bien dessinés et tellement elle était un peu comme parfaite en proposaient. Si je n'avais pas été aveugler par la colère je me serais surement dit que c'était tout à fait mon genre.

Il me répondit directement, et il faut dire, que, c'est répone n'était pas chercher. Pas autant que les miennes. Mais bon, il fait partit des gens de la moyenne société. Ceux qui ont été élevé par des parents pas assez soucieux du comportement de leurs enfants. Faut dire, que, je rêve de ce genre de parents là. Dieu seul sait pourquoi.

-Si je n'ai pas envie de t'en parler, c'est que je n'ai pas envie de t'en parler, c'est tout. C'est une meilleure excuse ça? Et si tu veux savoir pour moi un coin tranquille c'est un coin où personne n'est et ou une fillette ne viendra pas me poser des questions. Alors, tu connais?

On pouvait dire que dans sa voix pointait de l'agacement. Bon, ne cédons pas aux états d'âmes. Prends une grande inspiration. Et expire tout doucement. Répète ça deux ou trois fois pour tout chasser. Une fois calmais, parce que je dois quand même tenir mon image de fille gentille, sympathique et qui est apréciais de tous. Pas du tout moi. Mais bon sourions. Essayons un sourire vrai. Tiens, je sent que c'est un vrai. Je pense être passer maître dans l'art de tromper le monde. Quoi que... Je ne devrais pas m'en vanter.

-Oui, mais tu pouvais inventer mieux j'en suis sûr. N'oublions pas de prendre une voix genillerette pour redémarrer sur des bonnes bases.Excuse-moi pour tout à l'heure, c'est à cause d'un horrible mal de tête, qui me vrille les tympan.Excuse bidon bien sûr, qui croirais à ce genre de chose ? Les idiots sûrement.Attend que je réfléchisse... Il y aurait bien le jardin qui est souvent désert. Peut de personnes savent apprècier la beauté du lieux. Mais toi, tu saurais peut-être l'apprécier. J'en suis même sûr ! Ta musique m'a révéler que tu avais une âme plutôt sensible. Il faut ça pour savoir jouer une musique digne de ce nom. Tu pourrais devenir un grand musicien, j'en suis certaine !

Pas besoin que je vous dise que tout ce que j'ai dis je ne le pensais pas. Ca m'embêter même de dire cette fausse vérité si bien voilé que personne ne pourrais la trouver. Et puis, quand je mens, j'ai un peu tendance à tout exagéré. A parler beaucoup trop, pour ne rien dire. Mais il le faut. Je me dois de mentir. Je n'ai pas envie de... De quoi je n'ai pas envie au juste ? Pourquoi je fais ça ? Pour qui ? Rrrah ! Je suis trop compliqué pour moi ! Ne me demandé pas le pourquoi du comment que je suis moi. C'est trop compliqué à dire. A savoir même. Bref, ne jamais faire voir notre tourment, pour ne pas que les autres essaie d'approffondir leurs connaissance sur vous. Interdis même. Pas le droit ! Pas touche. Toujours se montrer serviable mais être distente sans que çane se voit trop. Allez ! On se reprend !

Elle fit une sorte de sourire mielleux dégoutant puis dis

-Oui, mais tu pouvais inventer mieux j'en suis sûr. Excuse-moi pour tout à l'heure, c'est à cause d'un horrible mal de tête, qui me vrille les tympan. Attend que je réfléchisse... Il y aurait bien le jardin qui est souvent désert. Peut de personnes savent apprècier la beauté du lieux. Mais toi, tu saurais peut-être l'apprécier. J'en suis même sûr ! Ta musique m'a révéler que tu avais une âme plutôt sensible. Il faut ça pour savoir jouer une musique digne de ce nom. Tu pourrais devenir un grand musicien, j'en suis certaine !

-beurk! C'est quoi se sourire mielleux et ses bonnes manière tout d'un coup? Si tu as mal à la tête va prendre un médoc au lieu de me rabattre les oreilles avec ta voix criarde. Rhhaaa! Je souhaiterais n'entendre plus que le violon jusqu'à la fin de vie au lieu d'entendre ses voix ridicules et ses bruits qui agacent mes oreilles. Avec tes paroles tu m'as enlevé toute envie d'en jouer. Et ne va pa croire que je suis un garçon sensible et tout gentil. Je ne suis ni une chochotte ni une chiffe molle, compris?

J'avais pris un air franchement dégouter. L'envie de jouer du violon m'était passé avec se sourire ridicule qu'elle avait. Quelle plaie! Mon regard devenait de plus en plus méprisant pour cette fille, on pourrait croire que j'alias lui sauter au cou et l'étrangler pour après enterrer le cadavre dans la cour. Non, je ne suis pas un tueur... Je n'en suis pas un... Que cette fille dégage, merde! Va-t'en sale princesse !

Son visage se transforma. On pouvait bien voir qu'il était dégouté. Et ça, ça me m'étais déjà en colère.

-beurk! C'est quoi se sourire mielleux et ses bonnes manière tout d'un coup? Si tu as mal à la tête va prendre un médoc au lieu de me rabattre les oreilles avec ta voix criarde. Rhhaaa! Je souhaiterais n'entendre plus que le violon jusqu'à la fin de vie au lieu d'entendre ses voix ridicules et ses bruits qui agacent mes oreilles. Avec tes paroles tu m'as enlevé toute envie d'en jouer. Et ne va pa croire que je suis un garçon sensible et tout gentil. Je ne suis ni une chochotte ni une chiffe molle, compris?

Ce qu'il vient de me dire. Est-ce que j'ai bien entendus ? J'ai vraiment bien entendu ? Parce que de si c'est ça qu'il vient de dire, et bien je vais vraiment me mettre en colère. Que dis-je ! Je suis en colère. Je crois bien que je vais lui pourrir la vie. Oui, il va voir de qu'elle bois je me chauffe ! Je vais ternir sa réputation et faire de lui le paria du lycée. Je vais bien le faire souffrir, ce sera vraiment amusant.

Je me levais, les yeux lansant des éclairs, marchant gracieusement, un sourire sadique sur la bouche et avec les bonnes manières que ce doit mon rang. Mais dans ma démarche on pouvait sentir la colère qui m'anime. Je marche avec la colère. Comme si elle avait pris possession de mon âme.

-Et ! Gamin ! J'étais désormais face à lui. Toi ! Oui toi ! Je lui tapotais le torse avec mon doigt. Tu n'es pas le plus malheureux de tout les enfants. Tu te crois supérieurs aux autres alors que tu n'es qu'un pauvre petit insecte. Tu es minable. Pitoyable même ! Et ne croit pas que je vais te plaindre, tu ne le mérite pas !

Bon, mon sourire c'était effacé. Je... Je n'avais jamais ressentis ça. Je ne pense pas que j'ai déjà été encolère. Que je l'ai déjà extérioriser en tout cas. J'étais comme qui dirais choqué par ça. Mais de toute façon mon visage n'allait certainement pas montrer cet étonemment. Loin de là. Non, pour l'instant il n'y avais que deux centimètre qui séparé nos deux corps, et j le regardais droit dans les yeux avec des yeux lansant des éclairs. Tout chez lui m'énervé. Je ne sais pas pourquoi, mais c'est comme ça.

La princesse se changea soudainement en guerrière assoiffer de sang. Son regard me lançai des éclaires et elle avais une démarche gracieuse, lente mais montrant bien une certaine colère.

-Et ! Gamin ! Elle était face à moi. Toi ! Oui toi ! Elle me tapotas le torse avec son doigt. Tu n'es pas le plus malheureux de tout les enfants. Tu te crois supérieurs aux autres alors que tu n'es qu'un pauvre petit insecte. Tu es minable. Pitoyable même ! Et ne croit pas que je vais te plaindre, tu ne le mérite pas !

Qu'est ce qu'elle raconte elle? Pourquoi est ce qu'elle déforme la réalité? Son sourire dégoutant et mielleux c'était effacer, c'était toujours ça de prix.

-Déjà laisse moi te dire que tu est bien plus belle sans ton sourire mielleux. En suite sache que je ne me prend ni pour quelqu'un de supèrieure ni pour l'enfant le plus malheureux aux monde. Je traite tout le monde come mon égale, pas comme mon inferieure.

En quelque chose sa colère m'avais un peu calmer mais j'affichas toujours un air un peu méprisant. C'était tellement rare que quelqu'un se mettent en colère contre moi que cela me choquait un peu de voir cette expression. Cela déformais les trais et en même temps les embellissait à mes yeux. Peut-être bien que j'avais des gouts bizarre question beauté, mais en tout cas là! Cela dépassait mes attentes pour la princesse guerrière.

Attend attend attend. Faisons un bref arrêt sur sa première phrase.

-Déjà laisse moi te dire que tu est bien plus belle sans ton sourire mielleux.

Est-ce qu'il est sérieux ? Il est sérieux ?! Non, mais il bête ou quoi ? On l'engueule et lui tout ce qu'il trouve à dire c'est que je suis plus belle ! Bon, je dois avoué que ça m'avez destabilisé quelques instants, mais, je suis habitué à ce genre de remarque. Ce n'est pas comme si que j'en voyait dire "oh qu'elle est belle" pratiquement tout le temps. Donc, ce n'était pas le premier qui me disais ça. Allez on peut apuyer sur play et continuer.

En suite sache que je ne me prend ni pour quelqu'un de supèrieure ni pour l'enfant le plus malheureux aux monde. Je traite tout le monde comme mon égale, pas comme mon inferieure.

Un, ce mec ce prends vraiment pour un super héros, comme : "moi je crois que tout le monde est égal à tout le monde ! Il n'y a aucune différence. Le bien vaincra sur le mal ! Ce genre de débil quoi. Et ce genre de personne à le don de m'énerve encore plus. Ils croient toujours que le bien vainc le mal, ils croient toujours être sérieux en disant leurs propos, mais on sait jamais s'ils y croient vraiment. Pourquoi ? Parce que quand l'occasion se présentent, ils fuient tous comme la peste. Comment peut-on avoir confiance dans ce genre de personnes ?

-Ah ? Tu n'en donne pas l'air, vu comment tu réagis dès que l'on parle de tes parents, ou alors quand tu te permet de juger les autres. Ce n'est pas ce croire supérieurs aux autres ça ? Si, il me semble bien.

Il m'énerve à croire d'avoir toujours raison alors que c'est ce qu'il y a de plus faux. Il est vraiment... Insupportable !

-Ah ? Tu n'en donne pas l'air, vu comment tu réagis dès que l'on parle de tes parents, ou alors quand tu te permet de juger les autres. Ce n'est pas ce croire supérieurs aux autres ça ? Si, il me semble bien.

-Quand est-ce que j'ai jugé quelqu'un? Je t'ai juste dit que tu étais belle sans sourire mielleux. Sinon pour mes parents j'ai le droit d'avoir une vie privée comme n'importe qui. D'ailleurs pour revenir sur l'histoire du sourire, je te trouve encore plus belle en colère.

Voilà, maintenant dans le meilleur des cas elle rougit et dans le pire des cas ça va juste l'énerver encore en plus ou lui donner envie de se jeter sur moi pour m'embrasser... J'espère qu'elle ne va pas tomber amoureuse par ce que devoir repousser les avances d'une fille c'est vraiment ennuyeux et ça te pompe ta journée. Cela dit je n'ai pas grand-chose à faire dans la journée. En plus les seules filles que j'ai rencontré dans ma vie c'est ma mère, mes profs féminines... y en a quelqu'une je me demande encore si ce n'était pas des hommes travestis, et quelques filles de mon âge que j'ai tout de suite détestée. Bref, autant dire que je n'ai rien en expérience avec les princesses et les guerrières. Sans me rendre compte je me mis à mordre ma main droite. Je ne sais pas pourquoi je fais ça, c'est surement nerveux. Depuis mes 4 ans que j'ai la malédiction du "jme mord la main quand jmennuis ou je suis stressé". La vie est vraiment nulle parfois.

-Quand est-ce que j'ai jugé quelqu'un? Je t'ai juste dit que tu étais belle sans sourire mielleux. Sinon pour mes parents j'ai le droit d'avoir une vie privée comme n'importe qui. D'ailleurs pour revenir sur l'histoire du sourire, je te trouve encore plus belle en colère.

Je ne trouve rien à redire. Bon, pour tout vous dire, je regréttais déjà de mettre mise en colère. Mais, voilà, j'ai dit des choses un peu mal placé. Et je ne voulais pas m'excuser. Donc, j'allais continuer dans se chemin, et lui dire tout plein de chose qui me passerais par là, quand je suis sur la défensive. Je ne les penseraient pas. En fait qu'est-ce que je devrais penser ? Bon, je vais répondre à cette question. Rien, je ne pense jamais rien des autres sauf qu'ils sont de pauvres toutou du gouvernememt. Bon, revenons à ce que je dois répondre.

- De un, ça s'appelle juger quelqu'un ça. Tu as jugé mon sourire. De deux, la vie privée n'est qu'une mascarades, car je suis certaine que l'état connais tout sur toi. Et de trois, tu as recommencer à me juger sur mon apparance. Tu sais, "juger", est la pire des choses, car tu ne me connais pas. Et je ne crois pas que tu me trouverais belle si tu faisais quelque recherche sur mes origines.

Il est vrai que l'on pourrais me dire de "bâtarde", excusez moi pour le mots, à cause de ma mère. Ce n'est pas du tout une riche. Certains oseraient à peine de venir me voir par peur de contamination sûrement. Une idée folle me traversa l'esprit. Serais-ce pour ça qu'elle m'a traité ainsi tout ce temps ? Pour me renforcer l'esprit ? Non. Pas possible. Ce n'est qu'une espèrence de gamine. Pourquoi est-ce que j'espère encore en sa bonté d'âme ? Je croyais mettre promis de ne jamais plus pensé à tout ça. Je soufflais une seconde fois, me retourna en laissant mes cheveux aussi léger que le vent touché Akifusa Srebro. Voir même le fouetter. Je me rendis à mon ordi en refoulant cette bouffé de tristesse qui c'était emparé de moi, dès que j'avais pensé à ma mère. C'est tellement bête ça. Bon, je ne ressent que de la haine à son égard. A cause d'elle je n'ai pas put avoir une enfance comme les autres. Avoir pleins d'amies et parler de garçon. Faire des soirée pyjama. En gros tout ces trucs de filles. Mais je n'ai jamais pu, à cause de ce que ma mère me faisait vivre. On me jugeais à partir de ça et je devenais la plus détestable des filles. Celle qui ne fallait surtout pas fréquenter.

J'avais atteint mon ordi et je m'installa de nouveau derrière ce dernier, puis le posa sur mes genous. Et je recommencer à surfer sur le net. Cette fois, plus pour mes recherches. Celles que j'avais faite il y a plusieurs année sur mes parents pour connaître leurs passé. Je les avaient sauvegardé pour je ne sais quelles raisons. Le fait est que je les ai gardé et que je les feuilletté de nouveau. J'essayais d'avoir un visage des plus inexpressif. Mais, j'étais sûr que c'était peine perdu. Je sais quemon visage montré un grand intrêt pour ce que je lisais, mes yeux, eux était pris dans un fléau de souvenir. Le souvenir de ma mère qui prenait une heure pour choisir la robes que j'allais mettre le lendemain. Le souvenir de mon père qui me poussé vers la porte de sorti de son bureau parce qu'il avait trop de boulot. C'est ça la vie de chateau on dirait. Je la déteste. Je déteste ma maison. Je déteste ma famille. Je me deteste quand j'était enfant. Je déteste tout ce qui à posé un pied sur cette Terre.

- De un, ça s'appelle juger quelqu'un ça. Tu as jugé mon sourire. De deux, la vie privée n'est qu'une mascarades, car je suis certaine que l'état connais tout sur toi. Et de trois, tu as recommencer à me juger sur mon apparence. Tu sais, "juger", est la pire des choses, car tu ne me connais pas. Et je ne crois pas que tu me trouverais belle si tu faisais quelque recherche sur mes origines.

Non mais elle est vraiment idiote celle-là.

-Si je savais tes origines je te trouverais toujours aussi belle, mais si c'est vraiment horrible je te ferais peut-être un peu moins de compliments. C'est vrais que je t'es jugé, j'avoue ma défaite, mais ça ta tellement gêner que ça que je te complimente?

Quand tu ne peut battre ton ennemie allie toi à lui, c'est une règle de survie. Je montrais un air désoler, bien que je ne le soi pas vraiment, à Luna. Le même air que je montrais à mes professeurs quand ils remarquaient que je dormais en cour ou quand on avais remarquer que j'avais coller une de mes sucettes au citron dans les cheveux d'une de mes camarades quand j'était petit. Menteur un jour, menteur toujours.

(HRP: désoler c'est ridiculement petit)

-Si je savais tes origines je te trouverais toujours aussi belle, mais si c'est vraiment horrible je te ferais peut-être un peu moins de compliments. C'est vrais que je t'es jugé, j'avoue ma défaite, mais ça ta tellement gêner que ça que je te complimente?

Oh... Devrais-je lui être reconnaissante pour ce qu'il vient de dire ? Laissez-moi y réfléchir deux secondes... Non, pas du tout. Au pire des cas, tout ce qu'il essaie de faire, c'est de m'adoucir, pour que je ne dise pas des choses qu'il va regretter dans quelques secondes. Oui, lui va les regretter dans quelques secondes, pas moi. Essayons de nous calmer, ne pas balancer mon pc à l'autre bout de la pièce. Respirons calmement. Mais, bon, je ne sais pas pourquoi je suis en train de le fusiller du regard. Sûrement parce qu'il me saoule, et que je regarde des informations que je haïs.Essayons la respiration lente pour ne pas céder, toujours montrer ce faux masque de sourire créé avec le temps. Pensons à quelque chose de bien. Je devrais penser à lui... Oui... Mon meilleur et unique ami en ce bas monde. Je souriait comme toujours en pensant à lui. Mon visage plutôt colérique c'était en un instant transformé en un nuage de douceur. Mes propos ? Eux, était ceux d'une personne froide. Ce que je pensais, et ce que je montrais pouvais être bien diférents de ce que l'on peut imaginer.

-On m'a si souvent complimenté pour une apparence que je ne compte plus le nombre de fois que j'ai dût faire semblant de le nier. On a complimenté tant de fois mes cheveux. On m'a complimenté tant de fois pour ce que je montré, que franchement, les personnes comme toi me dégoute. Je me demande quand vous allez à complimenté le physique. Et... Non, je ne pense pas non plus que mes origines te choquerais... Non, mais ce que je faisais enfant, oui, ça, ça te choquerais.

Cette dernière révèlation avais été dit avec un sourire sadique.

Rare sont les fois où j'ennoncerais ce que je ressent. Puis, mensonge après mensonge, je commencerais à dire la vérité, mais seulement une fois où ils auront tous compris que je mente. Je tiens aussi à préciser que j'aurais put tout leurs soutirer avant. Je jeta un coup d'oeil à l'écran essayant de ne pas paraître aussi troubler que ça. Imagine-le juste devant toi. Imagine-le te parler comme tu le faisais avant. Imagine-toi avec lui, même si tu l'a oublié. Imagine-le te faisant le câlin du siècle et te disant de te calmer, de ne faire rien voir. Le seul à voir ce que je ressent vraiment, c'est lui. Je n'ai besoin que de lui, et de personne d'autre. Mon meilleur ami à moi. Voilà je m'étais calmé. Sereine étais-je devenue. Plus rien ne pourrais venir m'embêter. Avec un air de défis je lui lançais

-C'est sûr que toi tu serais géner d'entendre des compliment, car on t'as sûrement jamais complimenté.

Je recommençais à lire les donné rassemblé sur mes parent, cette fois-ci avec un calme monstrueux. Le seul et l'unique qui réussissait toujous à me calmer quand ça va mal. Et dans ces données, je cherchais à comprendre le comportement de ma mère, le trop sérieux de mon père vis-à-vis de son travaille. Je me suis toujours demandée ce qu'étais une véritable famille. Une famille chaleureuse, avec une petite soeur... Non, un petit frère, avec qui je pourrais m'amuser, deux parents qui s'aime à la folie et vraiment, très aimant. Une famille parfaite. Bien sûr il y aurais eu des moment ou on se disputerais, mais sans suite. La famille parfaite. Celle de mes rêve d'enfant. Celle que j'aurais voulut avoir, mais que je n'aurais jamais. "Soyons réaliste, apprécions ce qu'on a !" Je me disais ça, quand je voulait encore y croire. Quand je me disais, "ne perdons pas espoir, ça s'améliorera !" En bref, quand j'était encore naïf. Je soufflais. C'est bien impossible toutes ces espèrence. Mais aussi incroyable que cela puisse être, je n'était pas triste du tout. Non, plutôt calme. Comme si ce n'était pas ma famille, plutôt celle d'un étranger. Je souriais avec douceur, pas de tristesse je vous assure, en revoyant les notes. Et aussi toutes les annotations que j'avais mise. Je fit même un petit rire sur l'une d'elle. Une blague que je suis la seule qui peut comprendre. C'est ma vie, et je sais comment me faire rire. Tout comme lui.

[HRP : T'inquiète, et puis qi tu racourcie ta page ça deviens plus long ^^]

La princesse guerrière avais un petit sourire sadique sur les lèvres qui commençais un peu à me saouler. J'ai l'impression que je me répète et qu'elle se répète. L'envi d'écourter la discutions me prenais et je regardais autour de moi pour voir ou je pourrais aller après, j'irais surement aller me coucher par ce que cette discutions m'ennuyais vraiment et me donnais envi de dormir. Je ne pensais même plus à mon violon.

-C'est sûr que toi tu serais géner d'entendre des compliment, car on t'as sûrement jamais complimenté.

C'est vrais que l'on ne m'a pas beaucoup complimenter dans ma vie... a part mes parents qui n'on fait que ça avec leur faut petit sourire qui montrai bien que en fait ils étaient dégouter ou déçus. Qu'est ce que je devrais faire pour qu'il me disent enfin "qu'est ce que tu a foutu? Tu va tout de suite arranger ça". Ils ne pourraient pas être aussi franche que cette fille?
Luna était en train de regarder son ordinateur en souriant, qu'est ce qui pouvais bien faire rigoler et sourire cette princesse? Bof, de toute façon je m'en fiche. Je lui lançait un dernier coup d'oeil avant de m'en aller.

(Hrp: je pense qu'on a fini)